Lettre de S. Exc. Monseigneur Harscouët, Evêque de Chartres, Président des Congrès Marials Nationaux
Evêché de Chartres - Chartres, le 17 Mars 1939.
Monsieur,
Vous désirez que le Président du Comité National des Congrès Marials français paraisse en tête d'un ouvrage destiné à glorifier la Très Sainte Vierge Marie Reine de France. Il s'en trouve tout spécialement honoré et il est heureux d'avoir cette occasion de prendre part au concert de louanges que vous faites entendre en l'honneur de Notre-Dame et de vous féliciter d'une oeuvre aussi importante et aussi opportune.
Vous voulez, dites-vous, continuer le rayonnement du Jubilé Marial et en assurer les bienfaits. Pour cela vous avez fait une somme des souvenirs précieux et glorieux pour notre Pays de France. On ne peut qu'être frappé, en vous lisant, du nombre incalculable des bienfaits de Marie pour nous, ses fils privilégiés. Mon rôle n'est pas d'examiner en détail cette histoire que vous exposez dès les origines parfois légendaires, mais il ressort de tant de traditions amassées par la piété de nos ancêtres un grand désir de reconnaissance, ce qui fait de nous des âmes bien nées, et partant, une grande résolution de répondre coûte que coûte à tant de prévenances de la part de notre Mère du Ciel.
Travail considérable que le vôtre, piété communicative qui entraîne la confiance. Confiance en Marie, confiance dans les destinées de la France.
Que tous en vous lisant, Monsieur, aient le ferme propos de se montrer digne d'un tel passé. Ce sera votre meilleure récompense. En nous montrant mieux que jamais Notre-Dame comme notre Patronne vous aurez bien travaillé vous-même pour le salut de notre cher Pays. Soyez en remercié et béni.
Evêché de Chartres - Chartres, le 17 Mars 1939.
Monsieur,
Vous désirez que le Président du Comité National des Congrès Marials français paraisse en tête d'un ouvrage destiné à glorifier la Très Sainte Vierge Marie Reine de France. Il s'en trouve tout spécialement honoré et il est heureux d'avoir cette occasion de prendre part au concert de louanges que vous faites entendre en l'honneur de Notre-Dame et de vous féliciter d'une oeuvre aussi importante et aussi opportune.
Vous voulez, dites-vous, continuer le rayonnement du Jubilé Marial et en assurer les bienfaits. Pour cela vous avez fait une somme des souvenirs précieux et glorieux pour notre Pays de France. On ne peut qu'être frappé, en vous lisant, du nombre incalculable des bienfaits de Marie pour nous, ses fils privilégiés. Mon rôle n'est pas d'examiner en détail cette histoire que vous exposez dès les origines parfois légendaires, mais il ressort de tant de traditions amassées par la piété de nos ancêtres un grand désir de reconnaissance, ce qui fait de nous des âmes bien nées, et partant, une grande résolution de répondre coûte que coûte à tant de prévenances de la part de notre Mère du Ciel.
Travail considérable que le vôtre, piété communicative qui entraîne la confiance. Confiance en Marie, confiance dans les destinées de la France.
Que tous en vous lisant, Monsieur, aient le ferme propos de se montrer digne d'un tel passé. Ce sera votre meilleure récompense. En nous montrant mieux que jamais Notre-Dame comme notre Patronne vous aurez bien travaillé vous-même pour le salut de notre cher Pays. Soyez en remercié et béni.
+ Raoul, Evêque de Chartres.
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